je me demande gros gros plusieurs surgissantes questions à propos de mon mode de vie, rapport aux autres qui vivent actuellement tellement autrement, me semble, mais sur la même planète.
Ici n'est peut-être pas le lieu de poser des questions qui pourraient fendre la base d'une foie érigée péniblement au fil et fouet des siècles...
tékâ
mais j'ai des suppositions de questionnages qui me la démange en golgo-tâ
D'abord , premièrement: les seins de poitrine de la duchesse de Cambridge, qui n'étaient pas du tout voilés, dehors sur une terrasse supposément éloignée du chemin, cachée, même... et photographiés, puis imprimés en couverture d'un magazine, à la vue de tous tous... n'ont pas choqué qui que ce soit... me semble, sauf Élisabeth 2
Deuzio: la gang de gars qui se pointent à l'ambassade pour tout casser, vu qu"on a vu en film de cinéma le visage du prophète à représentation interdite, ils étaient fâchés de voir ce qui ne peut être vu pantoute. L'ont-ils regardé? Ont-ils péché en zyeutant?
alors que, parmi eux, plusieurs hommes ne tolérent pas que leurs femmes se promènent dans la rue, visage nu...
ces femmes étant prophétesses dans la mesure où elles peuvent affirmer que se promener sans voile sur la rue aura des conséquences pas drôles, de retour à la maison.
Ici, moi! Suis-je normal d'avoir été séduit par des cheveux, par des colletés plongeurs, d'yeux mi-clos mais soutenus, de lèvre humide, de discussions trôllantes avec insinuations du regard générateurs de frenchs enflammés acottés dans la sortie d'urgence d'un bar de quelconque ordre? Étions-nous de bons croyants? On s'en câlissait-tu?
Quelle est la différence entre la vie d'un homme dont la femme est voilée dans la rue et la celle à moé dont la femme qui est ma blonde serait coltaillée avec du plongeant de par en avant dans sa blouse dans un bar? Est-ce qu'un croyant serait assez croyant pour détourner sincèrement les yeux?
Suis-je plus zyeuteur pécheur qu'un croyant qui n'a pas le droit de regarder?
Une des différences est qu'on ne voit pas de femme voilée dans un bar, parce que la femme voilée n'a le droit ni à la volga, ni à la langue de porc dans le vinaille avec des biscuits soda. (Biscuits soda peut-être, mais pas payant pour le bar qui peut barrer cette personne)
Ma blonde non plus ne mange pas de langue de porc, ni à la bar, ni à la maison d'ailleurs.
Mais encore! Comment doit agir un homme, dont la femme doit se voiler le visage, même dans un pays d'émigration, alors que le chef d'état de ce pays même est une femme non voilée, qui de plus est tellement laïque qu'elle pourrait aussi ben décrocher tout crucifix du parlement et même empêcher qu'on mette des minarets à la place?
Cet homme doit-il considérer qu'il est possible qu'on puisse décrocher de la religion?
Cet homme s'expose-t'il trop à laisser s'émietter le socle de béton de sa foie par la vue du péché?
Est-ce qu'un gars qui ne mange jamais de langue dans le vinaille peut quand même avoir le goût de frencher? Sur la rue? Que goûte un voile?
Est-ce que le fait même de me poser chaouinement cette question représente un blasphématoire lapidabe?
Autre question: une érection d'homme peut-elle, même momentanément, faire oublier les écritures saintes qui dirigent la vie sur le dur terrestre?
Et quand l'érection est vraiment passée, vidée... est-ce qu'on revient aux préceptes des écritures? Est-ce hypocrite? Coupable? Doit-on ablationner la partie pécheresse? L'homme est-il triste juste parce qu'il n'a pas lu tous les livres?
Je n'irais pas jusqu'à dire que ce sont des questions lourdes.... mais....
Quelques réponses pertinentes devraient suire plus tard, dans un avenir sain, c'est-à-dire, mettons quelques jours, dans une chronique à paraître sous le nom de code: Parlo Yâbe!
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